La crise économique et sociale risque de se doubler d’une crise politique d’envergure. Face à la faillite d’un système économique mal régulé, Nicolas Sarkozy et la droite s’enferment obstinément dans leurs certitudes néolibérales…
Le devoir de la gauche et des socialistes, c’est de démontrer au fil des prochains mois qu’elle incarne une alternative crédible, prête à diriger le pays.
Le PS a montré ces derniers temps la pire image de lui-même : celle des divisions fratricides, des querelles insupportables. Dans un esprit de responsabilité, la direction du PS représentera maintenant l’ensemble du parti socialiste.
Partisan pendant le congrès de la motion portée par Ségolène Royal et d’autres, je salue ici l’unité retrouvée des socialistes.
Maintenant, fort de ce rassemblement de tous les socialistes, le PS peut engager sa rénovation, devenir un parti populaire et de militants, ouvert qui se remet durablement au travail, et surtout se met au service des Français sur une ligne claire et mobilisatrice.